
Le Ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle Monsieur Nasreddine Nsibi a effectué , vendredi 8 avril 2022, une visite de travail au Gouvernorat du Kairouan .
Cette visite a connu la participation du Gouverneur du Kairouan Monsieur Mohamed Bourguiba , l’Ambassadrice de Grande Bretagne à Tunis Mme Helen Winterton et la Représentante du Fonds des Nations Unies pour l'Enfance l’UNICEF en Tunisie Madame Marilena Viviane.
À cette occasion, le Ministre a attribué 10 avis de financement relatifs à de nouvelles créations s’élevant à 627.328 dinars dans différents domaines économiques à savoir la cire d’abeille , l’imprimerie numérique sur différents supports , la pâtisserie , la menuiserie en aluminium , la maintenance des équipements électroniques et l’élevage des abeilles .
Il a de même rendu hommage à un nombre de jeunes entrepreneurs de la région qui ont fait leur preuve en menant des projets réussis.
Le Ministre a de même rendu visite au Centre de Formation et d'Apprentissage de Kairouan dont la capacité d’accueil s’élève à 800 postes de formation et qui propose 10 spécialités pour les niveaux Brevet de Technicien Professionnel et le certificat de compétence.
En outre, et dans le cadre du suivi du projet de « l’école de la deuxième chance » au gouvernorat de Kairouan , le Ministre a insisté sur l’importance de ce projet qui présente une grande réalisation au profit des décrocheurs scolaires en leur dotant de compétences nécessaires à leur réintégration aux cursus de la formation professionnelle et de l’éducation .
De son côté la Représentante de l’UNICEF a précisé que les projets de vocation sociale réussissent généralement grâce à la contribution de plusieurs intervenants dont nécessairement la société civile.
Sachant que le projet de « l’école de la deuxième chance » au gouvernorat de Kairouan est réalisé dans le cadre de la coopération tuniso-britannique et avec l’UNICEF.
Le programme de « l’école de la deuxième chance » au gouvernorat de Kairouan s’adresse aux décrocheurs scolaires âgés entre 12 et 18 ans et va être lancé comme la deuxième expérience pilote qui se base sur le travail en réseaux entre les services publiques, le secteur privé et la société civile.